A mesure que la situation sécuritaire et humanitaire s'améliore à Cabo Delgado, la major française TotalEnergies se remet en action petit à petit, et sans bruit, en vue de relancer la construction de ses deux mégatrains de liquéfaction.
Deux mois après la visite à Ouagadougou des représentants de l'Union européenne et leur proposition d'appui sécuritaire, la junte du capitaine Traoré n'a toujours pas donné de réponse à Bruxelles
L'ancien directeur exécutif de la Chambre des mines du Burkina Faso accompagne l'arrivée de la société canadienne dans le secteur minier du pays.
Le Service européen pour l'action extérieure (SEAE) de l'Union européenne planche depuis plusieurs semaines sur le lancement d'une unité de contre-ingérence dédiée à l'Afrique.
Le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara a décidé de baptiser le quatrième pont d'Abidjan du nom de son prédécesseur Laurent Gbagbo. Un projet en ce sens doit être présenté lors du prochain conseil des ministres.
Le pouvoir camerounais subit une crise interne depuis l'achat par la SNH de 10 % de la société qui gère l'oléoduc entre Doba et Kribi. Dans une série de lettres confidentielles, consultées par Africa Intelligence, le secrétaire général de la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh, et le patron de la SNH, Adolphe Moudiki, s'opposent violemment.
Peu convaincu par les résultats de la force régionale déployée par les pays membres de l'East African Community, Kinshasa regarde à nouveau vers la Southern African Development Community pour tenter de reprendre le contrôle dans l'est de son territoire.
Mis en place entre 2014 et 2019, le dispositif du "circuit vert" a permis à de grandes entreprises, souvent proches du pouvoir, de bénéficier d'allègements douaniers conséquents.
Le groupe de construction Mojazine de Brahim Mojahid, ancien président (PAM) du conseil régional de Béni Mellal-Khenifra, a obtenu un nouveau contrat sur le méga-projet routier Tiznit-Dakhla.
De nombreux miliciens originaires du Darfour et du Tchad sont présents en Libye. Ils s'abstiennent pour l'heure d'intervenir au Soudan voisin, mais l'installation des hostilités dans la durée pourrait pousser l'un des deux belligérants à recourir à leurs services.
A la recherche d'Atul Gupta et Rajesh Gupta, les autorités de Pretoria peuvent demander l'aide américaine ou faire pression sur les Emirats arabes unis qui ont refusé l'extradition.
